Depuis quatre ans, ces classes préparatoires aux grandes écoles du département enregistrent une baisse de leurs effectifs à cause des effets de la crise sanitaire, la proximité des établissements parisiens et l’appréhension des lycéens. Pourtant, elles présentent de bons résultats avec de belles perspectives d’étude.
Il est midi. À la question « les élèves ont-ils classe ? », le proviseur répond, amusé : « Bien sûr, il y a toujours cours en prépa ! » En ce mois de janvier, les étudiants de la prépa technologique du lycée Jean-Perrin à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise) stressent « un peu » en vue des concours des grandes écoles. Ils sont 25 alors qu’ils pourraient être plus nombreux. Chaque année, leur établissement a quelques places vacantes. Un phénomène qui concerne l’ensemble des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) du Val-d’Oise. Même si ces dernières ont de bons résultats, les candidats leur préfèrent les établissements de la capitale.
La suite est réservée aux abonnés.
Notre CPGE TSI est classée à la huitième place du classement du magazine l’étudiant.
Réservée aux bacheliers des filières STI2D et STL, elle permet aux étudiants motivés de préparer les concours des grandes écoles d’ingénieur.